Aujourd'hui, on comprend plus que jamais l'importance de générer des revenus passifs sur le court, le moyen et sur le long terme. Pour cela, tirer profit du grand potentiel qu'offre le secteur immobilier est une possibilité. Principalement à travers les investissements locatifs. Ces derniers peuvent être gérés avec succès pour peu que l'on adopte les bonnes démarches et que l'on respecte quelques règles clés.
Ce n'est un secret pour personne, l'investissement immobilier n'a rien d'anodin. Comment alors préparer son investissement locatif dans les règles de l'art ? Réponses.
Définir un budget est la première règle d'or pour réussir son investissement immobilier, y consacrer tout le temps nécessaire est la seconde. Pour qu'un budget de placement locatif soit correctement défini, plusieurs critères sont à prendre en considération. Le mieux serait de procéder par étapes.
Il est important de penser dans un premier temps à la somme que l'on peut investir dans l'achat locatif. Le budget d'achat peut paraître facile à définir au premier abord. Mais sauter cette étape est à même de causer des difficultés de gestion du projet à l'avenir. Il convient de prêter une attention particulière à ce détail afin d'éviter les surprises dont regorge le marché locatif.
La décision quant au budget dépendra alors principalement de la capacité d'emprunt. A-t-on la possibilité de financer soi-même un projet d'investissement locatif ou a-t-on besoin d'avoir recours à un prêt immobilier ? Peut-être même souhaite-t-on un crédit immobilier sans apport ? Ou profiter de l'effet de levier grâce à un taux d'emprunt toujours aussi bas, de 1 % en moyenne ? Une réponse sûre et claire à ces deux questions est ce qui conditionne le bon déroulement des étapes suivantes.
Bien définir la somme totale à dépenser avant de solliciter un prêt auprès de la banque est une étape à ne pas négliger. De nombreux critères sont à prendre en compte. Par exemple, il se pourrait que le logement envisagé nécessite des travaux. Dans ce cas, prévoir de la trésorerie sera incontournable.
Quoi qu'il en soit, il est conseillé de ne pas dépasser un montant de 100 000 € pour un le premier investissement locatif. Le mieux est donc d'opter pour un studio, par exemple, et de veiller à emprunter sur une durée maximale. L'objectif est de faire en sorte que les mensualités de remboursement n'excèdent pas le montant des loyers. Cela dit, prendre ses précautions en prévoyant un matelas de sécurité est incontournable. Pour couvrir d'éventuels loyers impayés par exemple.
Bon à savoir : pensez à la défiscalisation ! Les intérêts du prêt immobilier peuvent être déduits des revenus lors du paiement de l'impôt sur le revenu. Dans le cadre de la loi Pinel notamment.
S'il est difficile de prévoir un budget conséquent pour l'investissement locatif, on peut opter pour des alternatives. L'une de celles-ci consiste à placer ses économies dans une société civile de placement immobilier (SCPI). Ce qui a l'avantage de permettre de profiter d'un bon complément de revenu à partir de 500 € d'investissement. Un complément qui peut notamment servir de base solide pour préparer un placement locatif plus rentable à l'avenir.
Avant même d'aller plus loin dans un investissement immobilier, apprendre à être objectif est de mise. L'objectivité, aussi évidente semble-t-elle, est souvent peu prise en compte. Pourtant, c'est ce qui conditionne le succès d'un investissement dans l'immobilier locatif.
En clair, il ne faut pas confondre acquisition résidentielle pour soi et acheter un bien locatif de rendement. Il est toujours déconseillé, dans le cadre d'un projet de placement locatif, de se projeter personnellement dans le logement dans lequel l'on souhaite investir. Car il faut penser avant tout aux locataires qui l'occuperont, et ceux-ci auront un profil différent du vôtre.
Par ailleurs, réaliser un investissement locatif signifie que vous devrez vous engager à louer votre bien durant plusieurs années si vous souhaitez bénéficier d'une fiscalité intéressante comme le dispositif Pinel.
Il est important de penser dans un premier temps à la somme que l'on peut investir dans l'achat locatif. Le budget d'achat peut paraître facile à définir au premier abord. Mais sauter cette étape est à même de causer des difficultés de gestion du projet à l'avenir. Il convient de prêter une attention particulière à ce détail afin d'éviter les surprises dont regorge le marché locatif.
La décision quant au budget dépendra alors principalement de la capacité d'emprunt. A-t-on la possibilité de financer soi-même un projet d'investissement locatif ou a-t-on besoin d'avoir recours à un prêt immobilier ? Peut-être même souhaite-t-on un crédit immobilier sans apport ? Ou profiter de l'effet de levier grâce à un taux d'emprunt toujours aussi bas, de 1 % en moyenne ? Une réponse sûre et claire à ces deux questions est ce qui conditionne le bon déroulement des étapes suivantes.
Souvent, on oublie d'évaluer ses connaissances, mais aussi de juger si l'on a la bonne attitude pour mener à bien un projet aussi exigeant que l'investissement immobilier
Il est toujours utile de se poser les bonnes questions :
En effet, rien ne doit être laissé au hasard. C'est pourquoi faire appel à des professionnels s'avère être la meilleure démarche à suivre dans certains cas. Si l'on manque de temps ou d'un socle de connaissances solides dans le domaine de l'immobilier notamment. Pas si coûteuse qu'elle paraît l'être, une gestion locative, assurée par des professionnels, permet de bien mieux rentabiliser son investissement.